Roy Stuart a passé sa vie à aimer et photographier les femmes. Mais ce New-Yorkais, qui s’est exilé des États-Unis en Angleterre, puis d’Angleterre en France à la recherche d’un climat de plus franche liberté sexuelle n’est pas seulement un amoureux du beau sexe, un admirateur de la sensualité féminine. C’est aussi, à sa manière, discrète, éthique, esthétique (on oserait même ajouter, sans rire : pudique), un militant. « Je me méfie toujours des gens qui se revendiquent féministes, qui le
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